Alors que le début de la campagne 2025 de commercialisation du cajou est encore loin (elle commence en février), les transformateurs ont décidé de parer au plus pressé en traçant les sillons avec le directeur général intérimaire du Conseil du coton et de l’anacarde (CCA) pour le bon déroulement de leurs activités. Ce lundi 12 août, ils ont eu une séance de travail qui a porté sur leurs attentes pour la prochaine traite.
Un des points saillants a été la mise en place d’une fenêtre d’achat en début de campagne au profit des transformateurs locaux. En effet, les noix de cajou sont de bien meilleure qualité en début de traite. Les autres sujets de discussions ont porté sur la mise à disposition du stock d’amorçage et le payement des subventions liées aux amandes produites. Toutes, des questions essentielles pour une campagne réussie en 2025.
Issus de l’Association professionnelle des transformateurs industriels du cajou (APROTIC) et du Groupement des industriels du cajou de Côte d’Ivoire (GIC-CI), ces transformateurs ont salué Berté Mamadou, directeur général du CCA, pour l’oreille attentive à leurs préoccupations.
OSSÈNE OUATTARA