Des populations ne veulent plus des cumulards qui n’ont rien apporté à la région de Gontougo. Elles veulent le changement. Selon ces populations, un homme ferait l’affaire du Gontougo : Babacauh Koffi Dongo.
Longtemps confié à des politiciens qui l’ont divisé et bloqué son développement, le Gontougo regorge cependant de cadres compétents et dynamiques, qui ont fait leurs preuves dans la haute administration. Cette partie du pays ne veut plus être à la traîne. Pour cela, beaucoup de ses fils et filles ont fait le choix du changement avec Babacauh Koffi, chercheur émérite.
Les résultats du sondage mené dans différentes localités sont parlants. « C’est le meilleur « cheval » pour enclencher le développement de cette région longtemps sinistrée par la faute de ceux qui ont passé leur temps à acheter les consciences des populations. Ils passent devant les présidents Bédié et Alassane comme adulés par le peuple alors qu’il n’en est rien du tout. Un homme populaire dans sa région ne va pas chez lui avec un bataillon de militaires pour assurer sa sécurité », ont tonné en chœur les populations révoltées par les mensonges de ceux qui trompent tout le monde sur leur assise dans la région. « Qu’ils fassent des dons, c’est normal ! Tout le monde n’est pas au gouvernement pour donner des bœufs et du riz aux villageois à l’approche des élections », ont confié des personnes rencontrées à Bondoukou, Transua et Flatchiédougou.
Ces populations ne veulent plus entendre parler de RHDP dans leur zone. Leur choix est déjà fait. Et pas les cumulards, dans la perspective d’une sortie prochaine du gouvernement, qui vont changer la donne. Le candidat Babacauh a apporté beaucoup à la région, selon certains. D’où leur espoir qu’il est prêt à créer des emplois pour les jeunes avec le développement de la pisciculture et l’élevage.
L’Union pour le développement de Gontougo (UDG) adhère aux projets de l’ingénieur agronome. L’engagement du FPI à ses côtés est un réel motif d’encouragement pour « balayer » les ministres qui ont divisé la région.
Ange Kouman
Source : Le Républicain du mardi 29 janvier 2013