« Je demande à mes électeurs d’avoir un comportement citoyen pour que les élections se déroulent dans le calme », avait pourtant souhaité le maire sortant, Charles Kambiré, candidat indépendant. Idem pour Ouattara Siaka du RDR. Mais dimanche 21 avril, jour du scrutin, des violences ont éclaté. Conséquence, au moins 4 urnes saccagées sur les 13 que compte la circonscription électorale. Par la suite, la Chambre administrative de la Cour suprême s’est prononcée en faveur de l’invalidation et de la reprise de l’élection. En effet, « …il y a lieu de dire que les violences qui ont émaillé le déroulement du scrutin en ont altéré la sincérité ; qu’il convient donc de l’annuler », selon les termes de l’arrêt.
Le 28 juillet dernier, les électeurs à nouveau aux urnes. Nouveau cycle de violence. Avec pour corollaire 5 urnes détruites…
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