L’amande d’anacarde grillée est succulente. Certains la trouvent bien plus agréable dans la bouche que l’arachide. Gouttez-là une fois ! Et c’est sûr que vous serez tenté d’en réclamer. Encore et encore ! Devant le stand du Conseil du coton et de l’anacarde, au Salon international de l’agriculture et des ressources animales (SARA) 2017, c’est la cohue. Les visiteurs se bousculent presque. Chacun voulant son ou ses sachets de noix de cajou torréfiées. Le produit a conquis les bouches.
Sur l’espace occupé par les filières coton et cajou, un des plus animés du SARA, il n’y a pas que les amandes. Enrobées au chocolat, caramélisées au gingembre ou nature. L’anacarde, c’est plusieurs dérivés : apéritifs, jus, glaces, pâtes à cuisiner et pâtisserie. Finalement, on a l’embarras du choix devant une palette de sous-produits. Chacun, avec son goût unique. Tous ont la vertu de réveiller les papilles et font saliver d’envie. Sans doute, la production d’anacarde a de beaux jours devant elle.
OSSÈNE OUATTARA